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la triple vie de Tom Gauquelin

Sport et formation : Sportif, entrepreneur et étudiant,
la triple vie de Tom Gauquelin

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Du haut de ses 22 ans, Tom Gauquelin vit escalade, dort escalade, pense escalade. Membre de l’équipe de France, il s’entraîne 25 heures chaque semaine. En parallèle, il est le bras droit du dirigeant de Vertical’Art, une start-up qui installe des blocs d’escalade et permet de trouver celui proche de chez soi, partout en France. Dans le cadre de l’accélération de la jeune entreprise, passée de 50 à 200 salariés, Tom a souhaité se former au sein du Bachelor Online en Management et Commerce de l’EDHEC. Nous sommes allés au devant de ce grimpeur invétéré qui a dû concilier sport et formation. 

 

Sport et formaton : Tom faisant de l'escalade

Vous êtes sportif de haut niveau, comment est-ce que cela s’imbrique dans votre quotidien ?

C’est une partie très importante de ma vie. Je passe 25 heures par semaine au moins à m’entraîner avec mon club le 8 assure, c’est un vrai projet de vie. En parallèle, je travaille dans le même secteur… Je vis ma passion au quotidien, sous plusieurs formes. C’est vraiment stimulant. Il était vraiment important pour moi de pouvoir concilier sport et formation.

 

Vous travaillez pour Vertical’Art. Voulez-vous nous inviter dans votre quotidien ?  

Je me définis comme un entrepreneur. Je suis responsable communication et stratégie de Vertical’Art. C’est en quelque sorte un poste de conseil à notre CEO. C’est un défi au quotidien, car nous avons triplé notre effectif en très peu de temps et levée plus de 10 millions d’euros. Lorsqu’on grossit aussi vite, des questions managériales et organisationnelles se posent rapidement ; il faut y apporter une réponse d’autant plus vite que c’est une période décisive pour l’entreprise. 

 

C’est dans ce contexte que vous avez souhaité vous former à l’EDHEC ?

Oui ! Je voulais répondre à cette expansion tout en continuant ma carrière professionnelle. L’idée d’approfondir mes connaissances en management me trottait dans la tête depuis 2019, quand on a fait notre levée de fonds. On savait qu’il allait falloir être bons sur des enjeux assez nouveaux pour nous. J’ai commencé à regarder où j’allais pouvoir trouver les conseils à appliquer chez Vertical’Art.

En revanche, il n’était pas question d’arrêter mon travail, je devais me former en parallèle de mon activité. Donc, c’était primordial que tout soit accessible 24h/24 pour que je puisse m’organiser. Par ailleurs, je voulais que ce soit poussé, qu’il y ait un vrai suivi pédagogique. L’EDHEC est l’une des plus grandes institutions en management en Europe. Une fois la formation trouvée, le reste s’est enchaîné assez vite : j’étais le premier inscrit et l’année de cours est passée à une vitesse fulgurante. 

 

Et alors, pari tenu ? Qu’avez-vous appris ? 

Je termine ma formation ce mois-ci et c’est certain, il y a eu un avant et un après l’EDHEC. 

Côté technique, j’en ressors avec une vision macro et micro des rouages du monde de l’entreprise. J’ai eu des cours très poussés en finance, comptabilité, gestion de projet, management… J’ai aussi eu des tas de conseils directement applicables dans la société où je travaille. Mon directeur de formation, mes professeurs, ma coach Valérie et mon groupe d’apprentissage m’ont aidé à implémenter leur vision du management au sein de notre structure. J’avais aussi des questions bien précises sur les restructurations et j’ai pu être mis en contact avec des experts qui m’ont apporté des solutions concrètes.

Je dois dire que la disponibilité de l’équipe pédagogique a été incroyable tout du long. Une fois, j’ai envoyé un email à 22h30 au CEO de Fleury Michon, qui est très actif au sein de la formation. 10 minutes plus tard, j’avais un retour dans ma boîte mail. J’étais scotché. Il est directeur d’une entreprise qui fait 725 millions de chiffre d’affaires : il doit avoir un emploi du temps plein à craquer et des responsabilités énormes. Et pourtant, il a pris le temps. Avoir accès à des professionnels de cette qualité, disponibles pour nous aider, c’est un luxe immense. 

Sur le plan personnel, j’ai évolué grâce au coaching. Je suis tombé sur une coach expérimentée, qui avait une vision passionnante car elle avait passé 20 ans à des postes à responsabilité… Et qui est aussi quelqu’un de bienveillant qui sait écouter. Je ressors de mes nombreux échanges avec Valérie avec une vision beaucoup plus nette de ce à quoi je voudrais que mon avenir professionnel ressemble. Mon projet de carrière a évolué, et elle m’a mis au défi d’aller au-delà de mes peurs. J’en ressors plus serein et confiant en l’avenir. Depuis que j’ai cette ligne sur mon CV, je me fais beaucoup plus contacter… Nul doute que ce diplôme sera bénéfique pour ma carrière. En tout cas, à ma coach, je ne peux que dire « merci » !

 

Pas de tabous entre nous, à quel point est-ce que ça a été difficile ? 

Au risque de vous contredire, tout s’est bien passé. Le fait que la formation soit en ligne et donc accessible hors horaires classiques de travail m’a permis de m’organiser. J’étais embarqué au sein de la formation, et j’adorais mettre en pratique directement ce que j’apprenais. J’ai trouvé que mon boulot et la formation se répondaient très bien. Côté perso, ma compagne était au courant que j’allais entreprendre ce projet et elle m’a soutenu dès le début. Elle était fière que je le fasse à l’EDHEC et j’avais bien communiqué sur ce que cela impliquait. J’ai pu maintenir l’équilibre vie pro-vie perso, il n’y a pas eu de conflit. Ça, c’est primordial, car dans le cas contraire, ça peut vite compliquer le quotidien. Dans le fond, c’était une question d’organisation : il fallait être très efficace sur des tâches bien séquencées et prévoir du temps pour ma vie privée. 

Pour conclure, je me relancerais mille fois dans la formation !

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