Floriane Benoit

Creative Product Content Post Producer, Cartier

Floriane Benoit a été diplômée du Bachelor of Science Online (BSc), spécialité Management & Commerce en décembre 2020. De Genève à Paris, sur fond de crise sanitaire, elle a concilié avec succès études en ligne et stage en entreprise.

De l’esprit bienveillant et collaboratif de son groupe de travail au coaching reçu tout au long du parcours, elle partage avec nous son expérience de formation en ligne et ses nombreux avantages.

 

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Pouvez-vous présenter le parcours que vous avez suivi avant de rejoindre le Bachelor Online de l’EDHEC ?

Avant de commencer au sein d’EDHEC Online, j’avais fait des études de médecine. Puis je m’étais réorientée vers une formation en management et j’avais débuté un Bachelor d’économie avec un pilier de management à l’Université de Neuchâtel en Suisse. J’ai pu faire les 2 premières années là-bas.

 

Qu’est-ce qui a déclenché votre besoin de formation ?

Je voulais m’orienter vers une formation qui pouvait me permettre de terminer et valider mon Bachelor. Je cherchais donc une passerelle pour accéder directement à une 3è année. Je voulais également une formation plus orientée en management et marketing.

J’ai découvert la présentation du Bachelor de l’EDHEC et tout s’est très vite enchaîné. J’ai postulé rapidement et on est tout de suite revenu vers moi pour passer les différentes étapes pour intégrer le Bachelor. J’ai commencé dès novembre pour rejoindre la promotion de 2019 et j’ai fini en décembre 2020.

 

Comment avez-vous choisi ce Bachelor Online ?

Au début, je m’étais renseigné pour rester dans le système Suisse étant donné que j’étais déjà installée sur Neuchâtel. Mais ce qui m’a vraiment orientée vers l’EDHEC c’est qu’ils ont été très réactifs quand je les ai contactés en leur expliquant ma situation. Le processus s’est lancé très rapidement alors qu’avec d’autres écoles, cela aurait pu être plus long.

 

Quels ont été les bénéfices du format “online” ? 

Ce qui m’a tout de suite convaincu c’était le fait de pouvoir faire la formation en parallèle d’une activité professionnelle. Pendant mes deux premières années de Bachelor, je n’avais pas pu faire de stage. Une formation en ligne me permettait de commencer mes études où je voulais. A cause du Covid, j’ai été contrainte de mettre fin à un stage dans l’événementiel à Genève. Plus tard, j’ai pu changer de ville tout en gardant mon rythme scolaire et faire un stage sur Paris. Sans la formation en ligne, cela n’aurait pas pu être possible. Le fait de se sentir suivie mais d’un autre côté très libre sur ses choix, était très appréciable.

 

Comment êtes-vous parvenu à concilier votre formation et votre vie professionnelle ?

Au début, quand les cours ont commencé, je débutais un stage à Genève et le rythme était déjà assez prenant. Etant donné que les classes sont toutes enregistrées, la pression est moindre. On sait que si c’est impossible d’être à l’heure pour une classe, rien n’est manqué.

J’ai dû arrêter ce stage quelques mois après à cause de la crise sanitaire. Puis quand cela a été possible, je suis partie en stage à Paris et le rythme est devenu beaucoup plus intense. Je n’avais pas d’horaires fixes. J’en ai beaucoup parlé à ma coach car j’avais le sentiment de ne pas réussir à mener les deux de front et que mes cours en pâtissaient. Les équipes sont très présentes et bienveillantes. Après un temps d’adaptation, cela s’est très vite mis en place. Au sein des groupes de travail, chacun prenait le relai en fonction de sa charge de travail. Cet esprit collectif était très rassurant.

 

Pouvez-vous nous parler de l’accompagnement et du coaching que vous avez reçu pendant le programme ?

J’ai petit à petit expliqué à la coach que j’avais du mal à libérer du temps pour mes cours. Elle s’est montrée très compréhensive pour planifier les séances de coaching. Elle a aussi été d’un bon soutien, m’écrivait régulièrement pour vérifier que tout se passait bien. Elle avait aussi ce rôle en séance collective pour faciliter les échanges en groupe.

 

Vous avez suivi le module en partenariat avec Stanford. En quoi était-ce un plus ?

On m’avait parlé de la certification Stanford dès que je m’étais intéressée à la formation de l’EDHEC. Etant donné que c’est un module au choix mais sur candidature, cela m’a donné un objectif. C’était la récompense de mi-parcours. La 1è chose qui m’a intéressé était l’aspect anglophone qui me manquait depuis ma formation à Neuchâtel qui se faisait en partie en anglais. J’avais depuis le sentiment d’être moins à l’aise avec la langue car je ne la pratiquais pas. Le fait que Stanford soit une université extrêmement reconnue était une plus-value très importante et un gros “plus” sur le CV. Cela me permettait aussi d’avoir une autre approche. A défaut d’avoir un échange universitaire, c’était aussi l’occasion de mixer les cultures.

 

Quel est votre meilleur souvenir d’année de Bachelor ?

Probablement les moments collectifs. J’ai eu la chance d’intégrer un groupe où tout le monde a pris le travail très sérieusement. La communication était fluide et il y avait beaucoup d’entraide. C’était un groupe vraiment bienveillant, et on a eu de très bons moments quand on échangeait pour des rendus de groupe ou lors des séances de coaching. On était aussi très contents de se retrouver pour les cours, car il n’est pas forcément facile de connaître chaque membre de la promotion inclus dans la formation. Grâce à ces moments collectifs, le fait d’être à distance se fait beaucoup moins ressentir.

 

Avez-vous déjà pu appliquer vos nouvelles compétences en entreprise ?

J’ai effectué un stage dans une Maison de la Haute Joaillerie en tant qu’assistante éditoriale. J’étais entre l’équipe communication et l’équipe marketing. J’ai donc été en contact avec des fonctions variées, de la presse à la production, la qualité, la création. Dans ce contexte, j’ai alors retrouvé beaucoup d’éléments de ma formation. Mais j’ai aussi développé beaucoup de compétences directement pendant mon stage.

 

Pensez-vous continuer à vous former dans les années à venir ?

Je suis intéressée par un Master en ligne car le fait de pouvoir étudier et travailler en parallèle m’a beaucoup plu. Je préfère cependant acquérir d’abord un peu d’expérience professionnelle. Les Master en ligne de l‘EDHEC demandent d’ailleurs d’avoir quelques années d’expérience avant de pouvoir intégrer les formations.

 

Quels conseils donneriez-vous à une personne qui hésite encore à se former en ligne ?

Une formation en ligne peut être suivie de n’importe où, dans n’importe quelles conditions. On doit s’adapter à un monde qui bouge où tout peut être modifié du jour au lendemain. C’est très rassurant de savoir que, quoi qu’il se passe, les cours seront maintenus. Pendant la crise sanitaire, c’était un grand plus de savoir que malgré l’arrêt des stages, la formation, elle, restait inchangée.

Au sein d’EDHEC Online, j’ai eu le sentiment d’être très suivie, d’une part au sein du groupe de travail, et d’autre part pendant les moments plus denses où on a tout le temps quelqu’un vers qui se tourner. Les réponses arrivent très rapidement, on est pas laissé de côté, bien au contraire. Cela demande aussi de la rigueur de notre part. 

Je recommande à 100% la formation de l’EDHEC pour cet accompagnement. Je trouve même qu’il est plus difficile de “décrocher” au sein de la formation en ligne de l’EDHEC qu’au sein d’une formation en présentiel avec des cours en amphithéâtre par exemple.

Enfin, même si la formation tient un calendrier, ce qui est normal, elle s’adapte très bien à l’emploi du temps professionnel de l’étudiant. C’est une souplesse qui n’est pas possible dans toutes les formations, et c’est un grand plus !